#Opportunités des objets connectés

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#Les objets connectés

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#Les opportunités des objets connectés

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mardi 8 novembre 2016

jeudi 4 août 2016

Des images d'objets connectés

1. Les montres connectées
Véritable phénomène technologique : les montres connectées. De véritables petits ordinateurs nichés sur votre poignet. La montre vient toujours en complément du smartphone, et sont constamment reliés sans fil. La montre sert, en plus d’afficher l’heure, a étudier votre activité physique quotidienne et vous donner vos objectifs. Elle vous notifiera de chaque nouvelle information (messages, appels, mails, relations sur les réseaux sociaux, prochain rendez-vous) et sont même capable de vous donner les instructions GPS pour aller à votre destination. Pratique pour se déplacer dans une ville inconnue sans même sortir le téléphone de sa poche.

                               2. Les drones

Aujourd’hui les drones sont légion, de toute forme ou toute taille, roulant, volant, ces petits engins peuvent être pilotés grâce à votre téléphone portable en guise de télécommande. Les professionnels de l’image utilisent les drones pour filmer des plans aériens. Amazon, le geant américain de l’e-commerce, a testé la livraison de ses colis par drones aux États-Unis

                  3. Les capteurs d’activité

Afin de garder un oeil sur sa santé, les capteurs d’activités se sont démocratisés, à porter au poignet ou autour du cou pour certains, ces capteurs sont capable de savoir combien de pas vous faites par jour, si vous vous levez assez, les calories dépensées, le rythme cardiaque… relié à une application smartphone, il vous permet de faire un état des lieux précis de votre activité.

                  4. La maison connectée

Vous êtes connecté, votre maison est également connectée ! Les équipement domotiques sont désormais de plus en plus reliés à votre connexion Internet, de cette manière vous pouvez éteindre vos lumière a distance, consulter les alarmes, et également gérer votre consommation énergétique. C’est notamment le but du Nest, ce thermostat intelligent qui est capable de s’adapter pour que vous consommiez le moins d’énergie possible et faire des économies.

Opportunités et limites

  • Objets connectés : opportunités et limites




Dans son étude universitaire intitulé Objets connectés : opportunités et limites, Jean-Baptiste Bard, étudiant à l’université Dauphine de Paris dresse le tableau des objets connectés et de leur enjeux. Ayant effectué son stage de fin d’études au sein d’une agence de communication digitale spécialisée dans le domaine de la e-santé, Jean-Baptiste Bard a pris conscience de l’engouement de ce phénomène à l’heure actuelle et de son potentiel pour demain.Définition, opportunités et limites sont les principaux axes de sa réflexion.
Demain, les objets connectés auront envahi le quotidien de chacun d’entre nous. L’objet d’étude de cette synthèse est le marché des objets connectés avec ses opportunités ainsi que les limites qu’il rencontre. Tout d’abord, une définition précise des objets connectés me semble un bon point de départ/essentielle. Selon une étude Xerfiun objet connecté dispose de composants électroniques permettant de communiquer sans fil avec le réseau internet. Il est alors possible de le contrôler à distance (fonction allumé-éteindre). On évoque également l‘Internet des objets ( réseau de réseaux ) pour désigner une catégorie des objets connectés .

Le Marché des Objets connectés

Sur le marché des objets connectés les principaux produits s’insèrent dans la branche santé & bien être ainsi que la domotique. Ils rassemblent les principales applications connectées.
A noter que les ordinateurs portables, les tablettes et autres smartphones ne font pas partie de ce marché car ils appartiennent au marché du high-tech. Cependant, les smartphones et ordinateurs portables sont étroitement liés aux objets connectés comme me l’a précisé Renaud Acas, fondateur du site « objetsconnectés.net » lors d’une interview. En effet ces appareils servent de terminaux de contrôle des objets connectés en question. Ils agissent en quelque sorte comme des « télécommandes » permettant d’agir sur les objets connectés. Grâce à eux, il est ainsi possible de contrôler à distance le thermostat de la maison par exemple.

Le marché français des objets connectés

Le marché des objets connectés en France se divise en deux grands secteurs : la Santé et la Domotique. D’après l’étude menée par Xerfi, la valeur du marché des objets connectés s’estime à 150 millions d’Euros pour l’année 2013 – soit 1% des dépenses High-tech (Ordinateur, téléphones, tablettes,..) des Français. Le domaine de la Santé s’élève, toujours selon Xerfi, 60 millions d’euros et celui de la domotique 90 millions d’euros.

Santé & Bien-être

Le segment de la Santé et du Bien-être comprend quatre catégories de produits selon une étude effectué par l’IFOP ( Institut français d’opinion publique ) : balances connectées, montres connectées, traqueurs d’activité, et tensiomètres connectés.

Les balances connectées

Considérées comme pionnières parmi les objets connectés, la première fait son apparition il y a quatre ans, lancée par la société Withings. (Source : Blog dédié à la e-santé: lemondedelaesanté.com). Le prix moyen d’une balance connectée est de 120 euros, c’est le prix le plus élevé d’un objet connecté dédié à la santé. La valeur du marché des balances connectées représente 8 millions d’euros et correspond à 13,3% des parts de marché du segment des objets connectés dédiés à la Santé. Les principaux acteurs proposant des balances connectées sont : Ihealth, Withings, Terraillon, Fitbit. (Source: Fnac.com et Journal du Geek)

les objets connectés

  • Objets connectés et Internet des objets


Technologies, infrastructures, applications, évolution de l’offre


La révolution de l’Internet des objets, ou Web 3.0, est en marche.
L’enjeu est considérable : l’objet connecté fera disparaitre l’objet non connecté, et pose un problème de mutation des produits, des services, des processus, des individus. La concurrence s’annonce rude. Des start-ups, des entreprises innovantes, mais aussi Google, Intel, IBM, Apple déploient déjà leurs stratégies.
De nouvelles technologies se mettent en place : réseaux, processeurs, logiciels, services à valeur ajoutée. L’Internet des objets pose des problèmes de gestion de données, de traitement d’évènements et de puissance de calcul, mais aussi de sécurité et de confidentialité des données personnelles.
Le cycle de mise en œuvre des objets est long et demande innovation et anticipation. Il est donc vital d’initialiser sans attendre les projets de création d’objets ou d’utilisation de données obtenues à partir d’objets génériques.
Ce séminaire fait le point sur les concepts, les technologies, les objets, les services d’ores et déjà disponibles, et analyse les offres novatrices de tous secteurs.
Il est destiné aux DSI, chefs de projets, managers, responsables marketing qui souhaitent engager dès à présent une réflexion innovante sur ce qui sera vraisemblablement la troisième évolution technologique majeure après le Web et le mobile, et sur l’impact qu’elle aura sur l’offre de produits et de services de leur entreprise.

Les concepts clefs


  • Définition, typologie d’objets connectés et périmètre de l’Internet des Objets : Machine-to-Person (M2P), Machine-to-Machine (M2M).
  • Les trois moteurs : accélération du rythme d’innovation, nouvelles formes d’interaction clients, automatisation des processus.
  • Les quatre bénéfices escomptés : modernisation de l’offre, efficacité opérationnelle, service au client, collaboration avec l’entreprise.
  • Impacts attendus sur l’offre, la diminution du « time to market », la valeur des services associés. Vers l’explosion des données et le « fog computing ».
  • Domaines les plus impactés : santé, transport, énergie, distribution, industrie. Quels bénéfices dans un contexte de compétition entre entreprises ?
  • Au delà des objets connectés, les objets cognitifs, puis les objets « intelligents »

Les technologies Objets


Processeurs
  • Miniaturisation extrême, consommation électrique minime, faible sensibilité aux perturbations.
  • Processeurs basse consommation Intel Quark, NVidia et ARM. Co-processeurs de gestion des capteurs.
Communications
  • Standardisation des protocoles : ISO, IEEE, Oasis, The Physical Web, Allseen, OIC, IIC, Thread Group, Confluens, etc.
  • Evolution d’IPv6 : 6LoWPAN (IPv6 Low Power Wireless). Protocoles d’échange adaptés (MQTT).
  • Pico-réseaux : Bacnet, M-Bus, Vanet, Bluetooth 4.1 et Smart. WiFi 802.11ah et LiFi. Solutions « radio » propriétaires (Z-Wave) et 802.15.4 (ZigBee, Ant+).
  • Les réseaux : « fibre optique », EC-GSM, LTE-4G. Multi-Sim et SIM universelles (Matooma, MobiquiThings). Réseaux radio bas débit à couverture étendue: Sigfox, LoRa.
  • Standards d’interopérabilité : Alljoyn vs IoTivity.
Capteurs et MEMS
  • MEMS, micro-sensors et actuators : temperature, pression, inertie, champs magnétique, radiation, mais aussi microvalves, micropompes (Bosch). Demain Smart Dust, tatouages et nano-sensors. Biométrie et sécurité (TouchID, FingerID) et Kill Switch.
  • Connecteurs d’objets au Net (routeurs, passerelles) et générateurs d’évènements (Triggers, déclencheurs). Du smartphone à iBeacon, Geominder.
  • Les étiquettes : étiquettes radio (RFID, NFC), graphiques (QR Code), SMS, virtuelles (GPS/URL). Vers une standardisation EPC (Electronic Product Code) ?
  • Détection des mouvements (Kinect, Leap), des yeux (Tobii), du doigt (Tengi), et ostéophonie. Reconnaissance de la parole (Siri, Cortana) et traitement d’images. Commande vocale (Wit.ai). Biométrie.
  • Réalité augmentée. Hololens et Oculus Rift.
  • Les périphériques : Smart fabrics et Impression 3D, Caméra & scanner 3D (Intel) et 360° (Giroptic), Wireless Power (QI).
Systèmes
  • OS (iOS, Linux, Androïd Wear, Windows Embedded), OS temps réel (QNX, WindRiver, TinyOS). Développement logiciel : Eclipse Mihini et outils Lua (script), Koneki (simulation et test) et Paho (Messaging). Standard d’interface Google Fit.
  • Plateformes de prototypage et maquettage d’objets : micro CPU / contrôleur (Intel Galileo, Rasperry Pi, Arduino).

Typologie d’objets connectés


Les objets grand public portés (« wearable »)
  • Personnels : Lunettes, lentilles de contact, montre (Apple Watch, Galaxy Gear). Chaussures, fourchettes (Hapifork), sextoys (Durex), aspirateurs-robot (i-Robot). Surveillance des enfants (Belkin), personnes agées (ZCare), chiens-chats (Pet Remote).
  • Santé : Mesure diabète, pression artérielle, ECG, stress, sommeil, indice UV, activité cérébrale, radiations, etc. Brosse à dents et orthodontie. (Qardio, Mercurochrome, Netatmo, Omron, HeartMath). Textile & T-shirt mesurant les paramètres vitaux (Citizen Sciences).
  • « Quantified self » et Fitness (Adidas, Reebock, Polar, Withings, Fitbit, Jaybird)
  • Fun : robots et drones (Parrot)
Les objets grand public installés
  • Domotique : thermostats (Nest), électroménager, sécurité intrusion- incendie, météo, pot de fleur (Qualcom, Parrot, Sense).
  • Voiture : Contrôle et gestion du véhicule (Autosar), sécurité (e-call), V2X (détection Vehicle to X) dont V2V (prévention des collisions), Services connectés via 4G.
Les objets « relais »
  • Routeurs / passerelles (Box Internet, smartphone),
  • Triggers/déclencheurs (Roximity),
  • Bornes de localisation d’objets (Sense).
Les objets « entreprise »
  • Objets techniques intégrés au produit : étiquette (suivi), électronique (gestion d’équipements), SCADA « étendu ».
  • Objets « grand public » industrialisés (lunettes, caméras).
  • Robots et drones.

Les applications et services de l’Internet des Objets


Agriculture
  • Traçabilité animale (Institut de l’élevage).
  • Analyse des cultures et des sols par drone (INRA)
Assurance
Automobile
  • Voiture connectée (CarPlay, Androïd Auto, Windows in the car)
  • Interconnexion réseau social, voiture/avion, constructeur pour transmission des disfonctionnements (Toyota, General Electric).
Construction
  • Traçabilité du béton (Lafarge).
Distribution
  • e-Commerce (Evianchezvous, Hiku - Auchan, Bouton - Darty).
  • Analyse du trafic clients en magasin (Placemeter).
Energie
  • Gestion de l’energie pour le particulier (Ecofactor, GridPocket).
  • Relevé compteurs & « Smartgrid » pour les fournisseurs d’énergie et les entreprises (EDF/ Itron, Paradox Engineering).
Industrie
  • Monitoring et contrôle de production / logistique (Telit).
  • Maintenance et assistance (Réalité augmentée - lunettes connectées).
Santé
  • « Silver economy ». Suivi médical pour cardiaques, retour hospitalisation, maintien à domicile de personnes âgées (Gran Care, iHealth) avec pillulier connecté (iMedipac).
  • Impact de la montre connectée (Apple Watch, Healthkit), couverts anti-tremblements (LiftLabs), prothèses rétiniennes (Pixium).
  • Prévention par enregistrement de données et analyse HPC (LifeQ, Equivital).
Finances
  • Paiement sans contact NFC (Androïd, Apple Pay).
Transports
  • Tranquilien (SNCF / Snips), diffusion en temps réel de l’occupation des wagons.
Villes connectées
  • Gestion de l’éclairage urbain, des immeubles, de l’eau, du chauffage, des transports - ITS (Intelligent Transport System), de la pollution, de la gouvernance municipale (Barcelona Smart City).
  • Gestion de déchets et des poubelles (Plastic Omnium),
  • Gestion des places de parking et du trafic par comptage vidéo (MotionLoft).

L’infrastructure d’intégration


Les caractéristiques
  • Bande passante réseau, stockage distribué, traitements parallèles et outils d’analyse.
  • Développement d’applications sur l’objet, l’équipement relais (smartphone) et les systèmes centraux.
  • Interopérabilité (standardisation des échanges ISA-95).
Les technologies
  • Le Cloud computing (IaaS ou SaaS) : élasticité, couverture mondialisée, accès aisé, coûts réduits.
  • Le Big Data : stockage distribué de fichiers non structurés (Hadoop, Cassandra, MongoDB), traitements parallèlisés (MapReduce) ou en flot continu (Complex Event processing) et outils analytiques évolués (Dataviz). Place des architectures « Lambda ».
Les plateformes de services
  • Dispositif de collecte, transfert et traitement des données sur plateforme cloud (Arrayent, Exosite, LogMeIn, Thingsquare, etc).
  • Récupération des données de capteurs à travers un smartphone ou une tablette utilisés comme passerelle via cellulaire ou WiFi (2Net - Qualcomm).
  • Connected Health Center pour le secteur pharmaceutique (OBS).Plateforme IBM / MQTT (Message Queuing Telemetry Transport). Catalogue d’objets (Orange Live Objects).
  • Plateformes cloud « dédiées objets » : Azure IoT (Microsoft), IoT Open Cloud Platform (IBM), Thing Fabric (Amazon), Salesforce, SAP, Datamesure, etc.

Les points sensibles : sécurité et confidentialité


  • Contrer les dangers du « tout connecté » : fourniture indirecte ou directe de données personnelles, détournement d’ utilisation par des hackers.
  • L’action de la CNIL. Nécessité d’une règlementation plus stricte et de normes de conformité : désactivation des objets, contrôle parental , propriété et récupération des données, droit à l’oubli. Qui attribue et contrôle les identifiants des objets ? Quelle évolution du droit ?
  • Peut-on se fonder sur une relation de confiance ? Comment assurer la transparence ?
  • Quelles techniques de sécurisation des objets ? Cryptage, authentification (Radius), biométrie. Le concept de « Privacy by design ».

Le projet Internet des objets


  • Les contraintes : « agilité » du projet, innovation, évolution en interne, régulation. Avoir une vision long terme et un mode d’innovation « test-and-learn ». Le « design thinking ».
  • Collaborer avec les métiers pour déterminer comment l’Internet des Objets peut impacter son business aujourd’hui et dans le futur. Déterminer les opportunités, la valeur que cela peut dégager et quelle roadmap retenir.
  • Les points clefs : choisir les bonnes technologies, intégrer ces nouvelles technologies avec l’environnement du SI, modifier les processus.
  • Les pièges à éviter lors de la conception de l’objet , du service associé, de l’évolution de son organisation, de l’anticipation des changements règlementaires et de la protection des données personnelles. De la conception à la commercialisation. Les réseaux grand public : Lick, Fnac, Orange, etc.

mercredi 3 août 2016

Défintion des objets connectés

  • Définitions des objets connectés, de l’Internet of Things (IoT) et de l’Internet des Objets (IdO)

Toutes ces notions se mélangent un peu, pas vrai ? Et il est souvent difficile d’établir avec précision à partir de quand un objet et connecté et à partir de quand débute l’Internet des Objets. Parfois raccourci en IdO, ou plus souvent en IoT (Internet of Things), ce concept représente l’expansion du réseau Internet à des objets et/ou des lieux du monde physique.

L’Internet des Objets désigne la « connexion » de ces objets à un réseau plus large, que ce soit directement (par Wi-Fi par exemple), par l’intermédiaire du smartphone de l’utilisateur (souvent via une connexion Bluetooth) ou grâce à des protocoles de communication qui leur sont propres, et qui permettraient aux objets de communiquer entre eux (les protocoles domotiques comme Z-Wave ou Zigbee étant ce qui s’en rapproche le plus). C’est ce type d’objets 2.0 que nous appelons objets connectés.
Le terme d’Internet des Objets ne possède pas encore de définition officielle et partagée, qui s’explique par le fait que l’expression est encore jeune et que le concept est encore en train de se construire. Néanmoins, nos lectures connectées nous ont permis de mettre la main surune définition que nous trouvons pertinente :
« L’Internet des Objets est un réseau de réseaux qui permet, via des systèmes d’identification électronique normalisés et unifiés, et des dispositifs mobiles sans fil, d’identifier directement et sans ambiguïté des entités numériques et des objets physiques et ainsi de pouvoir récupérer, stocker, transférer et traiter, sans discontinuité entre les mondes physiques et virtuels, les données s’y rattachant. »

 

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